ART 176 Comment leur dire ?
Comment lui dire, comment lui dire, Comment lui faire comprendre d'un sourire"...
Oui, je cite du France Gall, je suis tombé bien bas me direz vous?
Et bien, non, juste que l' après annonce de la date, the date, celle du jour de greffe, ce ne fût pas si simple que cela.
Je me suis trouvé hier soir face aux larmes difficilement masquables, de mon gros "loukhoumo nounourso affectivo shamalow", Pierre, mon fils de 16 ans,
Avec moi seulement depuis septembre, il a choisit de venir me rejoindre,14 ans de distance plus tard, comblés à grands coups de week end à l'arrache, volés à un froid jugement injuste de divorce, mais surtout jamais partagés, tant mes occupations professionnelles étaient grandes.
Il y avait hier soir, toute la tristesse du monde dans ses yeux bleux, la même que j'avais croisée en juin, dans le bureau chez Fossati, lorsqu'il m'avait lâché, dans un gros sanglot spasmodique, et surtout dans un énorme lâcher prise qu'il avait refréné en lui depuis tant d'années:
..."mais , tu as vu le temps qui nous reste, je sais rien de toi, tu vas partir et je ne saurai rien de mon père...", le reste fût inaudible, tellement son chagrin était immense, et invisible pour moi, tellement mes yeux s'étaient embués sous l'impact de cette révélation qui en une seconde m'avait mis face à mon mode de communication et mes talents de père...
"Bon, d'abord je ne vais pas partir", avais je eu le temps de dire avant que Caroline (ex épouse, qu'il considère comme la mère qu'il aurait dû avoir), ne déboule dans le bureau pour me claquer un:
"qu'est ce que tu lui as encore dit, pour le mettre dans un état comme ça"...?
Ca y est ils étaient deux a faire haro sur le baudet.
Je leur avais fait quoi à ces deux là, moi qui n'avais jamais eu pour habitude, ni d'agresser, ni de frapper.
" Ce gamin là , tu vois pas qu'il a besoin de toi et....", je la sortais immédiatement du jeu, en lui coupant la parole pour l'emmener dans un endroit plus adapté à un règlement de compte. Tout en marchant, je mesurais déjà que ma violence à moi avait été assourdissante de silence et de non dit.
Je la laissais aussi cracher son venin, pour m'apercevoir que pour elle aussi les jeux été fait :
"Quand tu seras plus là , comment il va vivre tout celà lui"....De nouveau je lui coupais la parole, et me souviens lui avoir dit:
"Et oh, oh!!!!!!!!! Caroline stop ! Suis pas mort, suis même peut être plus en vie ou envie que vous tous moi"...
En clair je découvrais que chez ces deux écorchés vifs, les jeux étaient fait et je vous confesse que prendre ça dans la tête, après une journée qu avait été de merde, ce fût non pas la cerise sur le gâteau , mais le gâteau sur la cerise.
Mais revenons à hier soir, où tout le monde (mère, soeur, fils et toi aussi ma belle ), venez de mesurer que le 7 décembre s'était demain, et que le compte a rebours avait commencé. Compte à rebours unique et propre à chacun, en fonction des potentiels individuels a imaginer la qualité du décollage, et surtout envisager le retour.
Il y avait donc hier soir une soir une ambiance bizarre, plombante , qui ne m'avait pas donner la recette du," comment lui dire?", sachant que samedi à Reims face aux petits, il faudra que je trouve l'art et la manière de "comment leur dire?"....
Oui, je cite du France Gall, je suis tombé bien bas me direz vous?
Et bien , non ,juste que l' après annonce de la date , the date , celle du jour de greffe, ce ne fût pas si simple que cela.
Je me suis trouvé hier soir face aux larmes difficilement masquables , de mon gros "loukhoumo nounourso affectivo shamalow", Pierre , mon fils de 16 ans,
Avec moi seulement depuis septembre, il a choisit de venir me rejoindre
14 ans de distance plus tard, , comblés à grands coups de week end à l'arrache , volés à un froid jugement de divorce, mais surtout jamais partagés , tant mes occupations professionnelles étaient grandes.
Il y avait hier soir , toute la tristesse du monde dans ses yeux bleux, la même que j'avais croisée en juin, dans le bureau chez Fossati, lorsqu'il m'avait lâché, dans un gros sanglot spasmodique, et surtout dans un énorme lâché prise qu'il avait refréné en lui depuis tant d'années:
..."mais , tu as vu le temps qui nous reste , je sais rien de toi , tu vas partir et je ne saurai rien de mon père...",le reste fût inaudible , tellement son chagrin était immense , et invisible pour moi, tellement mes yeux s'étaient embués, sous l'impact de cette révélation qui en une seconde m'avait mis face à mon mode de communication et mes talents de père...
"Bon , d'abord je ne vais pas partir", avais je eu le temps de dire avant que Caroline (ex épouse, qu'il considère comme la mère qu'il aurait dû avoir), ne déboule dans le bureau pour me claquer un:
"qu'est ce que tu lui as encore dit, pour le mettre dans un état comme ça"...?
Ca y est ils étaient deux a faire haro sur le baudet.
Je leur avais fait quoi à ces deux là, moi qui n'avais jamais eu pour habitude, ni d'agresser, ni de frapper.
" Ce gamin là , tu vois pas qu'il a besoin de toi et....", je la sortais immédiatement du jeu, en lui coupant la parole pour l'emmener dans un endroit plus adapté à un règlement de compte. Tout en marchant , je mesurais déjà que ma violence à moi avait été assourdissante de silence et de non dit.
Je la laissais aussi cracher son venin, pour m'apercevoir que pour elle aussi les jeux été fait :
"Quand tu seras plus là , comment il va vivre tout celà lui"....De nouveau je lui coupais la parole, et me souviens lui avoir dit:
"Et oh, oh!!!!!!!!! Caroline stop ! Suis pas mort , suis même peut être plus en vie ou envie que vous tous moi"...
En clair je découvrais que chez ces deux écorchés vifs, les jeux étaient fait et je vous confesse que prendre ça dans la tête , après une journée qui, si mes souvenirs sont bons avait été de merde, ce fût non pas la cerise sur le gâteau , mais le gâteau sur la cerise.
Mais revenons à hier soir, où tout le monde (mère, soeur, fils et toi aussi ma belle ), venait de mesurer que le 7 décembre s'était demain, et que le compte a rebours avait commencé. Compte à rebours unique et propre à chacun, en fonction des potentiels individuels a imaginer la qualité du décollage , et surtout envisager le retour.
Il y avait donc hier soir une soir une ambiance bizarre, plombante , qui ne m'avait pas donner la recette du," comment lui dire?" , sachant que samedi à Reims face aux petits , il faudra que je trouve l'art et la manière de "comment leur dire?"....