Hier, j'ai pensé à toi Gilles Gallou
Hier je réfléchissais, au post que j'allais faire pour reprendre définitivement mon rôle de rédac chef, sale con omnipotent, pour reprendre la main de ce blog.
Et puis j'ai étais frappé par le sporto affectivo souvenir de mon jeune passé de footballeur Beauceron, en suivant sans envie notre Onze football NATIONAL censé s'offrir, la qualification direct pour la coupe d' Europe direct de Football.
Alors j'ai pensé à toi, à nous, ton frère Gérard, ton père, avec le père Pallu, mon grand père avec son Manteau quatre quart bien parfaitement ciré, piqué aux Boschs aprés la guerre( aprés un vrai combat de résistant SNCF roulant de son état et faisant son service avec un frizolin dans le dos , et oui la sortie de la guerre n'était pas loin...disons 1967), le long de la balustrade, attendant notre sortie en habit de lumière.
Ce flash m'est apparu quand la première image de tf1, en fait les premières paroles,de ce match furent accordées à Tony Parker, pour sa caution morale à l'amour du Maillot.
Tout un symbole déja peut etre (0/1 pour l'instant), dans cette victoire ou défaite annoncée...a VOIR....
Alors j'ai replongé dans cette douce enfance de mes dimanches de footballeurs amateurs, dans ces wagons Steff qui avaient eu d'autres usages que de recevoir que de jeunes footeux gêlés de 7 à 9 ans, s'enivrant dans les chaudes vapeurs camphrées , d'ambroisie dont on se réchauffaient, pour que l'effet plus tardifs des cuirs cinglants viennent bafouer nos jeunes cuisses de pré-puceaux de Province.
Bien évidemment ce protocole de massage, avait suivit la distribution de notre maillot, qu'on avait souhaité avant le onze, attestant ainsi de notre présence sur le terrain .
Alors oui toi Gilles, toi Gégé je le connaissais votre Maillot star, on ne fini pas à Nantes ou a Rennes 15 ans plus tard en pro par hasard...
Quand à moi je m'ennorgueillissais d'être, d'être le porteur d'eau, Gilles, Gérard, ma fierté d 'entourer des talents
comme vous...
Et puis dans ces mélanges de parfums , d'esters, de flagrance, mélangées, de souvenirs gazons frais matinal; nous sortions martials, fiers du regard portés par nos parents porteurs de nos rêves le long de ces balustrade de l ASCCM.
Alors je sais que grâce à vous j'avais du devenir champion pupilles 1967....et c plus combien, mais moi dans mes pupilles ont avait vu autre chose que mon éventuel futur avenir de star, juste avais je, laissé entrevoir la fierté de fouler une pelouse anonyme dU côté de Brezooles quelques part en Eure et loir....
Alors oui , j'ai pensé encore à toi , Gilles Gllou, de nos valeurs à nous , au moment où notre choix du maillot était d'un
tout autre niveau.
Au moment où sur nos visage l'envie....
Tiens on va être sauvé par un péno? Nasri? Il enfume ou pas? Bon, on a un sauveur, mais attendons.......
Ça y est de nouveau les superlatifs arrivent.....Journalistes, c'est ça donc?
Ah, 4MIN DE RAB AU CHRONO?
On doit avoir peur ? Eh bien moi je coupe avant , ça m'a pas fait rêver , et tant mieux , ils étaient beaux nos rêves de gosses entre Brezolles et Mainvilliers.....