Pas facile
Avant d'entamer ce billet, je dois vous avouer que le plus dur n'est pas de trouver des idées, ni de savoir les coucher sur le clavier, mais de lutter contre le courage.
Celui de se raser, de se laver laver avant 9 heures, de faire ces flexions, de monter sur cet home trainer (que j'ai demandé moi même). Lutter aussi contre cet état à la fois, semi nauséeux, vaporeux , fatigué.
Alors comme pour toutes les autres petites choses simples de cette vie recluse, il faut avoir le courage de vous écrire et de parler, alors que toutes les conditions pour trouver de bonnes excuses a ne pas faire sont réunies.
Le plus chiant étant bien sûr l'état "comateux" qui nuit beaucoup à ma bonne humeur , porteuse d'une écriture légère et féconde.
Mais bon! On est pas là pour se faire plaindre.
De plus cette première semaine s'est plutôt bien passée, sans trop de dégâts, par rapport à ce que j'avais imaginé. Comme dirait l'autre: "c'est déjà ça de pris et ça de moins que les boches n'auront pas"*
Pour faire court , pas facile de vous exprimer ce qu'en temps normal, je vous aurais écrit sur ce geste magnifique que va me faire ma soeurette, et toute l'émotion innérante.
Dans quelques jours, mon état me permettra peut être de trouver les mots, même si je pense aujourd'hui, qu' il en existe peu pour qualifier un tel acte.
A bientot
*( eh oui, grand père cégétiste ex roulant SNCF, ça laisse du vocabulaire)