Rire et pleurer
C'était quoi, la chanson : " et je ris comme je pleure et je pleure comme je ris", enfin c'est pas important.
Dans tous les cas, le travail actuel que je fais sur mes" presque "trois ans de blog, pour faire mon livre, n'est pas aussi facile que ce que j'imaginais.
Non pas sur un plan technique et grammatical, oui je sais Dom avec les fautes de frappes , syntax, ortho , que j'ai commis, il y a du boulot (tais toi, te dis je) , mais sur un plan psychologique. Reprendre depuis la génèse ces trois années, c'est cultiver le chaud et le froid, les caresses et les claques dans la gueule, les moments de soulagement et de douleurs, le rire et les larmes.
Chaque post est un moment précis. Une forme d'arrêt sur image, une photo sur laquelle apparaissent, des mots , des phrases, des images, des comm, des visages amis, des lieux.
Le plus difficile, c'est d'intégrer qu'il ne s'agit pas d'une histoire passée, mais d'une histoire qui continue, que chaque image de l'hosto et de douleurs, peut vite redevenir réalité.
Alors reviennent à moi, des moments que j'avais oubliés, tout en me disant que nous avons tous en nous une grande aptitude a oublier vite, et c'est tant mieux. J'ai même parfois à la relecture du mal a imaginer que j'ai déjà pu passer tout ça. Le problème est que maintenant , je sais. Alors si je dois y retourner aurai je la même aptitude a encaisser?
Bon , je ne vous parle pas des conneries que j'ai écrit, là aussi , je me demande comment j'ai pu raconter des trucs pareils et si j'en suis l'auteur. Je comprends mieux à la relecture , la phrase de Dom et Manou qd nous nous sommes rencontrés la première fois:
"Mais? T'es pas aussi barge que ce que l'on imaginait!"
Si je me souviens bien , ce jour là nous avions ris...