Se refaire la main
J'ai donc décidé, non pas de reprendre ce blog avec la même aciduité qu'il y a quelques mois, mais pour entretenir mon projet de livre que je vous ai déjà évoqué.
Je dois cependant entretenir la flamme et permettre aux nouveaux arrivants de découvrir, sans prétention aucune, mon style que certains ont qualifiés de trés personnel...
Quel meilleur sujet que d'évoquer mes amis de la gauche caviar. alors que j'aurai pu vous parler de la maladie et vous dire que j'étais toujours en lice pour la montée directe , sans passer par les repéchages, au pavillon des:"ils sont partis trop tôt"...
Celles et ceux qui me connaissent se disent , il va nous parler de sa copine la daurade , plus connue sous le sobriquet de Royale. Non, j'ai trouvé mieux et encore plus ridicule: Mondebourg.....
Mais quel con! Le plus digne représentant de ce que peut être , la suffisance et le fouttage de gueule.
Il a ce côté précieux de ceux qu'on rencontrerait plutôt dans le marais qu'a la fête de l'huma, le tout enrobé dans le phrasé type de l'avocat moyen qui s'écoute et qui s'adresse à ses confrères.
Comment ce mec peut il être crédible vis à vis d'un électorat représentatif d'une france laborieuse, alors qu'il exprime plus le côté fin de siècle de certaines familles royalistes, que seule la droite était capable de sortir de ses placards suintant la naphtaline.
En fait j'ai flashé sur lui , lors de sa prestation scenique annuelle, où il se met a chanter des chansons paillardes feignant la décontraction et l'encanaillement alors qu'on le verrait plutôt chanter ," Jésus , Jésus revient"...avec la famille Duquenois.
Dans sa grande parodie annuelle , il est en général habillé avec une chemise blanche, dont on aurait vite envie de découper le col , pour l'envoyer directement à la guillotine, et faire que la lame face son oeuvre rapidement , avant que ce con se rétracte. Oui il serait trés crédible en faux révolutionnaire.
Bon , pour une reprise , faut pas que je m'énerve, il faut juste que je me refasse l'écriture, et puis j'avais le trac de vous retrouver. Alors à bientôt, je vais manger.