ART 116 lumière mortelle
Hier, telle Bernadette Soubirou ou Ségolène sous Bayrou, elle m'est apparue....
La lumière bien sûr, la lumière divine....Celle qui fait passer le Foucher, du stade Néenderthalien le plus confiné, à celui de Bobo sur le Boul' mich, le plus élevé...
Elle m'a touchée, irradiée, au point de me faire poêter, et comme un "poêt" ne se réfreine pas: je vous l'offre !
Le titre:
La Mort sur le pouce
Pascal, viens, fais moi confiance, me dit elle,
je suis ta mort douce,
ta vie qui part en douce,
pas te retourner pour me voir à tes trousses,
tapie dans l'ombre, cachée de tous, sans jamais t'apporter de frousse
ignorant les conséquences de mes secousses,
dans ma guangue, mais sans housse, de ta santé, te détrousses,
de frimousse tarie de ta source, tu t'assècheras sans ressource et
si d'hasard, tu t'approches....
....je te pousse....
Poil aux poils qui poussent